Ce blog est dédié aux séances de répétitions de la chorale des adultes de Moissy et de Savigny.
Il permet de recueillir souvenirs, anecdotes, conseils,etc.
Toujours dans un esprit ludique, décontracté, et fait avec humour.
"La gravité étant toujours le bonheur des imbéciles" comme chacun ne l'ignore plus, les personnes "graves" et coincées peuvent s'abstenir de venir ici!
Mais attention ! Un tango à la messe ! Ne cherchez
pas ! Il n’y a pas de contrepèterie (Ouille ! que c’est difficile à
écrire, et surtout à dire !)
Dans mes années (très anciennes !) de catéchisme, il ne
me serait jamais venu à l’esprit que l’on puisse danser le tango au cours
d’une messe. J’avais même cru comprendre, que cette lascive et très sensuelle
chorégraphie entre deux personnes de sexe opposé, n’était pas en odeur de
sainteté dans la hiérarchie catholique. Ne
comptez pas sur moi pour vous expliquer ce qu’est « une odeur de
sainteté » expression dont les moins de vingt ans n’ont jamais entendu
parler !
Mais je fais le malin, alors que je sais pertinemment qu’il
s’agit là uniquement de musique et non pas de danse !
Les vacances ne sont plus, hélas, que de vagues souvenirs et
des tonnes de photos enfouies au fond de nos ordinateurs et de nos smart
phones. Ainsi va la vie.
Mais nous sommes prêts pour cette nouvelle aventure lyrique.
Si nous allons avoir le plaisir de voir de nouvelles têtes et d’entendre
surtout de nouvelles voix, certains et surtout « certaine » vont nous
quitter pour d’autres occupations. En espérant les revoir le plus tôt possible.
Sur ce…..A vos partoche ! Et bon tango !
PS Mais celui que je préfère de tous, de tangos, c’est le
« tango corse » !
Ça y est ! La fête est finie. Les concerts sont donnés.
Nous avons conclu cette
Belle saison, riche en souvenirs, par les agapes convenues
de la petite fête donnée en l’honneur de nos deux chefs de chœur ;
Véronique et Jérôme. Comme de coutume, ils ont bien été gâtés ! Jugez
plutôt !
Véronique a reçu un bel olivier dans un magnifique pot en
céramique très bariolé de couleurs vives. Bon ! La cueillette des
premières olives n’est pas pour demain. Il faudra quand même attendre un certain
temps pour les avoir à l’apéro !
Quant à Jérôme, alors là ? Connaissant sa
« grande » consommation œnologique, on ne pouvait pas faire moins que
de lui offrir un ustensile propre à faciliter celle-ci.
On lui a donc offert un tire-bouchon, mais « électronique »,
s’il vous plaît ! Ah mais ! Malgré tout, pour être tout à fait
« geek », il lui manque la WiFi et la prise USB pour être connecté
sur le « ouèbe » ! Notre chef l’a d’abord pris pour une
poivrière électrique et même une lampe torche éclairante! On lui pardonne volontiers ;
c’est un artiste ! Le voilà paré pour des dégustations bachiques entre
potes à lui ! Car j’allais oublier qu’il a reçu une magnifique bouteille
d’un cru renommé. Sans oublier le « ouisqui » japonais !
Si ! Si ! Ça existe, le « ouisqui » japonais. Il paraît
qu’il est même meilleur que celui des écossais ! Un comble ! Je ne me
prononcerai pas à ce sujet, n’ayant aucune compétence en produits
pharmaceutiques. Toutes ces dames avaient préparé de merveilleuses agapes,
comme d’habitude. Pour ma part, j’étais un peu triste de l’absence de quelques
bons choristes de mes amis. C’est aussi pour eux que je fais le récit épicurien
de cette soirée.
Après ça, Jérôme nous a annoncé la bonne nouvelle !
Nous allons danser le tango, l’année prochaine ! Il faut tout de suite
tempérer votre enthousiasme ; c’est une messe ! Et en latin !
On n’arrête pas le progrès ! C’est « La messe
Tango » de Martin Palmeri.
D’ailleurs, Françoise vous a fait une petite bafouille à ce sujet
qu’elle vous a envoyé par courrier.
Et puis, désormais, par votre beau destrier
« gogole » vous pouvez avoir toutes les informations nécessaires sur
internet.
Sur ce, je vous souhaite à tous de bonnes vacances, (qui
doivent être bien entamées pour certains et certaines) et à la rentrée !
« Moi, je suis
tango, tango …..hips ! A la tienne, Etienne…. ! »
Georges Brassens nous avait écrit une jolie petite chanson à
ce sujet. Je vous donne le lien de la vidéo pour celles et ceux que cela
intéresserait. Alors, j’entends déjà d’ici, les interrogations, encore une
fois, plus ou moins malveillantes au sujet de ce titre. Mais qu’est-ce ça vient
fiche dans le blog de notre chorale ? J’aurais pu écrire autre chose que
« fiche » mais je préfère ménager la sensibilité chatouilleuse de mes
lectrices. Ça y est ! Le vieux perd ses boulons ! Comme il arrive
souvent à cet âge, un court-circuit dans ses neurones usés a dû se produire
accidentellement.Pas du tout !
Bande de médisants ! Car mes « papillons » ne sont pas ceux que
l’on voit voleter gracieusement dans la campagne ensoleillée, par une belle
journée d’été, non ! Mais ceux, vestimentaires et chics, que l’on nomme
plus vulgairement « nœud pap ». Et quand je parle de
« chasse » c’est bien de celadont il s’agit, quand on recherche un objet rare et dispendieux pour
satisfaire les caprices « artistiques » d’une certaine prof de chant.
Celle-ci veut à tout prix que l’on chante en chemise blanche et nœud papillon
« rouges » ! Déjà que ces ustensiles de mode sont rares en noir,
mais alors en rouge ? Je ne vous en cause pas ! Il faut dire que j’avais eu l’imprudence
d’accepter le rôle de supplétif mâle dans une classe de chant où l’on manque
très cruellement de denrées nourries à la testostérone. Si vous voyez ce que je
veux dire, sans être obligé d’insister lourdement ? Or donc, me voilà lancé
dans tous ces magasins de fringues qui me sortent par les yeux, tellement je
déteste toutes ces montagnes vaniteuses et coûteuses de tissus et d’objets
futiles. Je cherche désespérément partout cet accessoire de mon futur uniforme
de loufiat pour pince-fesses mondains, afin de ne pas gâcher la fête du concert
de ce soir, et de satisfaire « Mâdâme » la prof de chant. Des
kilomètres de rayons de soutiens-gorge, de soutifs, de fanfreluches, de
costards, de slips de bain, de chapeaux, de ceintures, de cravates,
etc… Enfin j’en trouve un !
Mais à quel prix ! Et comme la plaisanterie ne s’arrête pas là, il
faut que j’en achète un supplémentaire pour le ténor de service. La mission
« impossible » est enfin remplie.
Vous croyez que l’aventure « papillonesque » s’arrête
là ? Bande de naïfs ! Elle ne fait que commencer. Car voilà le « drame » qui se joue
dans nos calebasses surchauffées ; d’un côté, nous devons commencer le
concert en chemise blanche et nœud pap, pour faire les « beaux » avec
ces « dadames », et de l’autre on poursuit au sein de notre chorale,
mais cette fois-ci tout en noir, avec une chemise noire. Youpi ! Vous
voyez le topo ? A un moment donné, il va nous falloir jouer les
« Fregoli » ! C’est incontournable ! Quoi ? Vous ne
connaissez pas « Fregoli » ? Et wikipédia ? C’est fait pour
les chiens ? Fregoli est le précurseur lointain d’Arturo Braquetti. Quoi ?
Toujours rien ? Alors là, vous vous démerdez ! Bon, comme nous sommes des « cerveaux »,
on se dit que la meilleure solution c’est d’amener notre chemise noire avec nos
affaires et nos partoches. On la mettra dans un coin discret, le moment venu. Sauf
qu’il faut encore le trouver, ce coin…discret ! Ce n’est pas évident, dans
une église pleine de mélomanes attentifs.
Le soir arrive. Il fait beau et chaud. L’église de Moissy
est fraîche et accueillante. Les filles de la classe de chant et nous, on s’est
déjà échauffé dans l’école du Noyer Perrot. Nos petits copains et copines de la
chorale le font de leur côté sous un chapiteau blanc à l’entrée du bâtiment.
Le concert commence par nous, avec nos belles chemises
blanches et nos « nœuds » cramoisis par le bonheur de se trouver au
milieu d’une si belle assemblée. Tout se passe bien. Sauf qu’il nous faut
attendre le passage de toutes nos copines chanteuses, vu que nous concluons le
passage de l’école de chant par un « alléluia » endiablé (ce n’est
peut-être pas tout à fait le terme à employer dans une église, mais on fait ce
qu’on peut !). On patiente ! On patiente ! Pendant ce temps-là,
je repense au coin que nous avons trouvé pour nous changer. Il est
parfait ! Il nous cache bien de la vue des spectateurs. Mais j’aperçois
une porte, et je dis à Christian que ce serait bien de nous changer dans une
pièce fermée, bien isolée. On ouvre la porte et on se retrouve….dans le chœur
de l’église ! Aïe ! Heureusement que nous nous en apercevons tout de
suite. Vous imaginez la scène ? Nous, débarquant, torses nus, au milieu du
chœur, pour nous changer ? Certaines coquines auraient pu se réjouir
d’apercevoir ainsi, des anatomies masculines avenantes, en inspirant chez elles
certaines pensées que la morale chrétienne réprouve. Mais la vérité nous oblige
à croire en un autre scénario moins glorieux. On aurait vu d’ici les titres des
journaux : « deux dangereux exhibitionnistes sèment la panique dans
un paisible lieu de culte ! » On a donc échappé à la catastrophe de justesse !
Quand arrive notre dernier morceau de bravoure, je me
précipite vers le choeur, mais retenu par la main ferme de Christian, je me
rends compte d’un détail épouvantable ; dans mon élan, je n’ai pas vu que
j’avais accroché le cintre de ma chemise noire et qui me battait ainsi, l’arrière
train d’une manière scandaleuse ! Ah ! Il s’en passe des choses, dans
les coulisses ! Si vous saviez !
Je vous rassure. Tout s’est bien passé ! L’alléluia a
été, disons, à peu près bien interprété par les basses. Alors on s’est vite
précipité derrière notre pilier pour échanger nos chemises.
Le Magnificat était sauvé ! D’ailleurs, il a été très beau,
bien joué et très émouvant. Je trouve, personnellement, qu’il a même été mieux
interprété qu’à Savigny ! Peut-être le sentiment des « derniers
feux » et qu’une grande aventure lyrique s’achevait ainsi. Nous avons eu
droità un « bis » du Gloria.
Il y a même un « ravi de la crèche » qui a poussé un
« bravo » un peu décalé, mais tout de même, très sympathique. Il faut
dire, que quelques minutes auparavant, Monsieur le curé lui avait dit de
remettre son t-shirt sur son torse nu. D’accord, il faisait chaud dehors !
Mais pas dans l’église ! Et ce pauvre garçon risquait de s’enrhumer.Décidément, c’était la « valse des
torses nus », ce soir là !
Pour terminer sur une note plus calme et plus sereine, je
constate que nous avons bien rempli notre « contrat ». Encore une
fois, Véronique et Jérôme ont su, grâce à leur grand professionnalisme, mais
aussi grâce à leurs grandes qualités humaines, de patience et même d’humour,
porter les simples amateurs, parfois peu doués que nous sommes, vers des
sommets de bonheur que procure l’art lyrique. Ils ne faut pas oublier les très
talentueuses solistes, professionnelles ou amatrices que nous avons eu le
plaisir d’entendre. Certaines promettent beaucoup et sont même
très…..charmantes ! Hum ! Oups ! Ma femme risque de me lire, je
ne vais donc pas insister !
Je ne peux terminer sans faire un clin d’œil malicieux à
Véronique, notre cheftaine de chœur de Savigny, car il me revient, à son sujet,
le refrain d’une jolie chanson d’une chanteuse complètement oubliée (c’est vous
dire si je suis un vieux kroum !) Colette Deréal :
Véronique, si je te dis ça
Il ne faudra pas me croire
Non, y ne faudra pas
(Lettre à Véronique, refrain)
En vous souhaitant à toutes et à tous de bonnes et
reposantes vacances.
Bon ! Mettons les choses au point tout de suite !
Les « ceusses » qui auraient la sombre envie de polluer l’air que je
respire, de me courir sur la prostate, de me dynamiter mon enthousiasme
d’écrivain, en pensant que ce titre est trop facile, trop simpliste, n’ont qu’à
en trouver un eux-mêmes !
Nous avons enfin pu nous exprimer sur cette œuvre magnifique,
après des mois de répétitions acharnées. La petite église du vieux bourg de
Savigny-le-Temple nous a accueilli avec beaucoup de générosité, même si sa nef
n’a pas la taille de celle de la basilique Saint Pierre de Rome ! Nous n’y
étions pas à l’étroit. Nous y avons retrouvé une acoustique due à cet endroit
particulier et que nos répétitions, dans nos locaux modernes, ne nous y avaient
pas habitués.
Mais que c’était beau ! A mon avis, des musiciens aussi
géniaux que notre « prêtre roux », c'est-à-dire Vivaldi, devaient
parfaitement le savoir, et sa Venise natale ne manquait pas d’édifices
religieux pour y expérimenter sa musique. Si la majorité d’entre nous est
arrivé à bon port, comme on dit, ce qui est une expression d’une absurdité
colossale, vu que nous sommes à des centaines de kilomètres de tout ce qui peut
ressembler à un océan ou à une mer, « certaines », dont on ne
révèlera pas l’identité par prudence, et par galanterie, ont eu quelques
difficultés pour y arriver à ce….port !
Après un échauffement rapide en plein « cagna » mené
par notre Jérôme national, ce qui est un vrai scandale pour les « professionnels »
que nous sommes, on s’est vite réfugiés dans la fraîcheur bienveillante de
notre petite église.
Là, il faut bien parler d’une vilaine déception qui nous
taraudait la « calebasse » depuis quelques temps déjà. Si !
Si ! Il faut en parler ! Alors qu’un confort douillet et légèrement
égocentrique nous avait habitué à chanter entre nous, bien peinard, bien
tranquille,il a fallu s’apercevoir,
avec un certain désagrément, et déjà aux répétitions, que notre
« vedettariat » serait partagé avec des solistes. D’accord ! Elles chantent bien! Il ne
manquerait plus qu’elles aient des voix de crécelles enrouées et qu’elles chantent comme
Catherine Frot dans « Marguerite » ! Paraît que c’est dans
l’œuvre et qu’on ne peut pas faire autrement.
Donc, il a fallu…. partager ! Mais le spectacle a quand
même été réussi, malgré tout. Notre chef lui-même en a été très satisfait. Nous
avons eu droit à notre lot d’applaudissements bien nourris par un public qui n’a
pas été celui de Johnny au Stade de France ! Il ne faut pas rêver !
Déjà que dans les supermarchés et les gares on diffuse
maintenant du « classique » pour faire fuir les voyous et les SDF, il
ne fallait pas s’attendre à chanter à guichet fermé.
Mais, au moins, notre public a été chaleureux et
enthousiaste.
Bon ! Il paraît qu’il faut recommencer
« l’exploit » la semaine prochaine à Moissy, et toujours dans une
église. Tout le monde sur le pont…et à bon port !
PS. J’ai fait un enregistrement sonore pirate que je mettrai
en secret, avec mot de passe sur notre site. Comme ça, ceux qui ne seraient pas
intéressés pourront aller se faire voir chez les Grecs, surtout qu’en ce
moment, ça ne va pas fort chez eux !
Les plus distraites, et distraits, de mes petits camarades
auront remarqué ce pluriel très….singulier ! De plus, le titre du blog a
changé pour bien montrer notre parfaite collaboration avec nos camarades de
Savigny-le-Temple. Oui ! il m’a été rapporté que j’aurais eu une tendance
néfaste, et un peu égocentrique, à ne parler que de la chorale de Moissy. Loin
de moi, cette funeste disposition, dans mon esprit.
Déjà, ce blog avait été initié quand nous
« voguions », seuls, à Moissy,
sur les flots de l’art lyrique. Et comme je pensais que Savigny avait
déjà son propre site, « les élans du chœur », donc, ses
« webmestres » à eux, je ne voulais surtout pas faire de la
concurrence déloyale.
Bref, ceci étant résolu, passons au sujet principal ;
la galette ! La galette ! La galette !
Je vous préviens tout de suite ; je la veux, cette
fève ! Pour une fois que je pourrais me faire couronner
« roi » ! Ne précisez pas mon royaume, sinon, je vais me
fâcher ! Et puis comme ça, je pourrai désigner ma reine ! Ah !
Ah ! Le choix sera dur ! Je le sais !
Donc, jeudi prochain, le 17, nous aurons droit à une belle
galette des rois…et des reines !
Je vous mets en copie l’email de Françoise. Même si vous
l’avez déjà reçu, cette information pourra ainsi atteindre ceux qui n’ouvrent
jamais leur courrier ! Y en a ! Si ! Si !
« JEUDI 19 JANVIER 2017
avec nos Chefs et après le
cours, pour célébrer le début de
l'année l'Association des Elans du
c(h)oeur, qui malheureusement doit clore ses comptes pour arrêt définitif, nous
offre LA GALETTE DES ROIS et le cidre - (rien à apporter et à faire).
UN GRAND MERCI à Marie-Jo, Nadine, Janine qui, au travers de
cette association, nous a épaulé dans différentes actions, comme les achats des
costumes, cadeaux, partitions etc...., elles se sont vraiment bien investies.
C'est avec plaisir et convivialité que nous partagerons tous
cette galette des rois si gentiment offerte.
Tous mes vœux de bonheur pour cette année qui nous réserve
son lot de surprises et de joies, comme tous les ans !
« Lazare ressuscité des morts » !
Je ne voulais pas donner ce titre à mon message. Déjà, parce
que cela aurait fait un peu « grandiloquent », et surtout parce que
je ne suis pas mort. Bien qu’un gros rhume et une bronchite sont venus me
terrasser en pleine « jeunesse ». Mais heureusement…(non il n’y a pas
« Findus », malgré le froid), je me suis fait vacciné contre la
grippe pour la première fois de ma vie. Une belle réussite, comme vous pouvez
le constater !
Bref ! Assez parlé de moi ! D'après ce que j’ai
compris, les affaires reprennent ! Je vais continuer à mettre les extraits
de nos répétitions sur le site. Comme je fais des progrès en informatique, il
sera de plus en plus beau. Je vais m’attacher à faire revivre nos
« archives » . Il est quand même dommage que tous les concerts et que
toutes nos prestations n’aient pas une sorte de « musée » où chacun
et chacune pourra y retrouver des souvenirs « glorieux » visuels et sonores.
Donc, au plaisir de vous revoir bientôt. Mes potes des
basses n’ont qu’à bien se tenir ; je vais continuer de
« brailler » parmi eux !