« Il est né le divin enfant ! »
Une petite muse nous est née sous le doux prénom de Louise !
Ah ! Enfin un joli prénom qui
fleure bon la France éternelle ! Merci ! Mille mercis à
ces parents courageux qui ont su enfin choisi une merveille en place
et lieux des inepties catastrophiques que nous côtoyons tous les
jours !
_ « Marée » n'embête
pas ton frère ! », « Siphon » et
« Safrane » venez ici !
Quand on entend ça, dans les allées
de nos supermarchés, ou ailleurs, on ne se retourne même plus de
stupeur et d'étonnement devant tant d'inconscience vulgaire !
Mais Louise ! Ah ! Que c'est
beau ! Je soupçonne fort le papa musicien de l'avoir choisi
pour le son mélodieux qu'il produit quand on le prononce. On ne se
refait pas ! Mais j'entends déjà d'ici la maman
protester vivement en affirmant que c'est elle seule qui l'a choisi !
Peu importe ! Il est beau, et
cette petite « nouvelle-née » va rejoindre la cohorte
célèbre de celles qui l'ont porté avec honneur et panache tout au
long de notre histoire de France !
Qui a oublié Louise de La Vallière ?
La première petite fiancée de Louis XIV ? Peut-être la seule
femme dont il fut certainement profondément et sincèrement
amoureux !
Une petite digression que j'ai trouvée
sur le « ouèbe » dans un journal féminin « œuf
corse ! » :
Le prénom Louise provient des termes
germaniques Hlod- et -wig qui signifient respectivement "gloire"
et "combat".
D'ailleurs cette gloire commence par
Louise Labé, une poétesse du 16 ième siècle , surnommée « la
belle cordière ». L'héritière du maestro sera-t-elle douée
pour les Lettres ?
Quant au « combat » quoi de
mieux pour l'illustrer que Louise Michel !
D'ailleurs, il me revient subitement en
mémoire un événement particulier qui m'avait pourtant frappé,
mais je ne me souviens plus lequel ? Si quelques-uns de nos amis
choristes pouvant me rafraîchir la mémoire ?
Moi, j'ai une tendresse particulière
pour une dame que les moins de cinquante ans ne doivent plus
connaître : Louise de Vilmorin qui apparaissait dans une
émission de télévision périodique, en compagnie de chanteurs,
(dont Guy Béart) de poètes et de célébrités de l'époque. Elle
hébergea, jusqu'à sa mort, son grand ami Malraux, dans sa
propriété de Verrière-le-Buisson, que je côtoyais lors de mes
escapades cyclistes de ma jeunesse.
Mais je n'oublie pas, non plus, une belle jeune
actrice de notre époque : Louis Bourgoin ! La nôtre aura
sûrement aussi sa grâce et sa beauté !
Donc, vous pouvez constater que la
fille de notre maestro est en bonne compagnie et accompagnée de
« fées » qui sauront l'inspirer tout au long de son
existence que nous lui souhaitons longue et heureuse.
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