vendredi 1 mars 2013

TE DEUM pour une naissance !

« Il est né le divin enfant ! » Une petite muse nous est née sous le doux prénom de Louise !
Ah ! Enfin un joli prénom qui fleure bon la France éternelle ! Merci ! Mille mercis à ces parents courageux qui ont su enfin choisi une merveille en place et lieux des inepties catastrophiques que nous côtoyons tous les jours !
_ « Marée » n'embête pas ton frère ! », « Siphon » et « Safrane » venez ici ! 
Quand on entend ça, dans les allées de nos supermarchés, ou ailleurs, on ne se retourne même plus de stupeur et d'étonnement devant tant d'inconscience vulgaire !
Mais Louise ! Ah ! Que c'est beau ! Je soupçonne fort le papa musicien de l'avoir choisi pour le son mélodieux qu'il produit quand on le prononce. On ne se refait pas ! Mais j'entends déjà d'ici  la maman protester vivement en affirmant que c'est elle seule qui l'a choisi !
Peu importe ! Il est beau, et cette petite « nouvelle-née » va rejoindre la cohorte célèbre de celles qui l'ont porté avec honneur et panache tout au long de notre histoire de France !
Qui a oublié Louise de La Vallière ? La première petite fiancée de Louis XIV ? Peut-être la seule femme dont il fut certainement profondément et sincèrement amoureux !
Une petite digression que j'ai trouvée sur le « ouèbe » dans un journal féminin « œuf corse ! » :
Le prénom Louise provient des termes germaniques Hlod- et -wig qui signifient respectivement "gloire" et "combat".


D'ailleurs cette gloire commence par Louise Labé, une poétesse du 16 ième siècle , surnommée « la belle cordière ». L'héritière du maestro sera-t-elle douée pour les Lettres ?

Quant au « combat » quoi de mieux pour l'illustrer que Louise Michel !
D'ailleurs, il me revient subitement en mémoire un événement particulier qui m'avait pourtant frappé, mais je ne me souviens plus lequel ? Si quelques-uns de nos amis choristes pouvant me rafraîchir la mémoire ?
Moi, j'ai une tendresse particulière pour une dame que les moins de cinquante ans ne doivent plus connaître : Louise de Vilmorin qui apparaissait dans une émission de télévision périodique, en compagnie de chanteurs, (dont Guy Béart) de poètes et de célébrités de l'époque. Elle hébergea, jusqu'à sa mort, son grand ami Malraux, dans sa propriété de Verrière-le-Buisson, que je côtoyais lors de mes escapades cyclistes de ma jeunesse.
Mais je n'oublie pas, non plus, une belle jeune actrice de notre époque : Louis Bourgoin ! La nôtre aura sûrement aussi sa grâce et sa beauté !
Donc, vous pouvez constater que la fille de notre maestro est en bonne compagnie et accompagnée de « fées » qui sauront l'inspirer tout au long de son existence que nous lui souhaitons longue et heureuse.


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