Que je vous raconte, sinon vous n’allez encore pas piger cette belle « saillie » sortie de mon cerveau en ébullition. Il faut dire qu’avec la chaleur de ces derniers jours, il n’a pas eu le temps de refroidir, le pauvre chéri ! Et surtout hier soir !
Heureusement, notre salle de cours de solfège était climatisée. Ah ! Quel bonheur ! Nous y avons attendu notre chef, bien au frais, sans trop d’impatience, vu que les routes étaient encombrées. Enfin, c’est ce qu’il nous a dit ! Après un rapide tour d’horizon sur nos compétences toutes neuves à reconnaître les rythmes nous avons vu débarquer nos collègues choristes dans notre salle. Par un phénomène étrange, eux, qui ne venaient jamais nous voir, se sont engouffré dans notre salle au point qu’elle en devint surchargée. C’est quand j’ai voulu sortir, que je me suis aperçu de la « cause ». Hou ! C’est comme si je venais d’ouvrir la porte des « enfers » ! Une haleine torride de dragon m’a carrément empourpré les joues !
Ah ! Je ne voulais plus sortir ! Pas question ! Et bien vous ne le croirez pas, « on » nous a obligé à aller chanter dans le « four » d’à côté. Et là, on s’est farci quasiment la moitié du requiem de Mozart. Comme cure d’amaigrissement, je vous le recommande ! Une demi-heure de plus et le requiem était pour nos funérailles ! Ce n’est pas dans un cercueil que l’on nous aurait enterré, mais dans une bombonne de verre tellement nous aurions été « liquides » !
Mais notre calvaire n’était pas terminé, car c’est alors qu’il nous a fallu « Fauré » !
Heureusement le « forage » à continuer dehors, AU FRAIS sous la forme d’excellentes bouteilles de bière remises à notre chef tant apprécié. Il eut droit aussi, à une jolie carte personnalisée par l’épouse de Serge et au dos de laquelle nous avons bien voulu mettre quelque « pensées » amicales » pour que notre Jérôme national ne nous échappe pas et qu’il revienne bien vite, nous « torturer » après des vacances bien méritées pas nous tous !
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